Faire de la prononciation de la formule : « au nom d’Allah, le Clément, le Miséricordieux » une condition de la licité de la consommation de la viande de l’animal égorgé

Consommer la viande d’un animal égorgé par une personne qui a quitté une fausse croyance pour embrasser une autre fausse croyance

Laisser le sang dans l’animal après l’avoir égorgé

des personnes de religions différentes font le travail d’abattage dans les abattoirs

La signification des propos des Très Haut : « Certes, Il vous interdit la chair d’ une bête morte, le sang, la viande de porc et ce sur quoi on a invoqué un autre qu’ Allah. Il n’ y a pas de péché sur celui qui est contraint sans toutefois abuser ni transgresser, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux. » (Coran, 2 : 173)

Egorgé et jeté dans l’eau bouillante, le poulet continue à s’agiter.

Suffit-il de mentionner le nom d’Allah sur de la viande ?

La mention par le musulman du nom d’Allah sur de la viande appartenant aux gens du Livre (Juifs et chrétiens) en autorise-t-elle la consommation ?

Présence dans l’abattoir de travailleurs qui ne prient pas

Donner aux musulmans la possibilité d’égorger les bêtes selon la méthode musulmane